« What you give is yours, what your retain is lost forever »

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Luc Ferrari, toujours

Le compositeur Luc Ferrari est ces jours-ci à l’honneur de la 13e édition du festival Extension organisé par La Muse en Circuit, qui propose notamment, entre le 22 et le 25 mai et entre Vitry-sur-Seine et Paris, deux concerts et un colloque consacrés à son œuvre. C’est l’occasion de republier ici – sous la forme…

Le compositeur Luc Ferrari est ces jours-ci à l’honneur de la 13e édition du festival Extension organisé par La Muse en Circuit, qui propose notamment, entre le 22 et le 25 mai et entre Vitry-sur-Seine et Paris, deux concerts et un colloque consacrés à son œuvre. C’est l’occasion de republier ici – sous la forme d’un PDF (comprenant quelques petites coquilles de compression pour lesquelles j’adresse mes excuses au lecteur) que l’on peut télécharger en cliquant – l’entretien que Luc Ferrari nous avait accordé, à Pierre-Yves Macé et moi-même, un an avant sa mort, pour la revue Mouvement.

À l’instar d’un Chris Marker, d’un Mauricio Kagel ou d’un Jan Svankmajer (que François Sarhan avait interviewé, toujours pour Mouvement), par exemple, Luc Ferrari est pour moi un artiste rare et essentiel – à cause de son œuvre bien sûr, mais aussi de son humour, de sa manière de (se) jouer des codes et coutumes de son milieu (en l’occurence, la musique-contemporaine) et de suivre gaiement, poétiquement et obstinément, quoi qu’il arrive et quoi qu’on en dise, une voie à la fois rectiligne et sans cesse sujette aux caprices d’une insatiable curiosité. Grande et mémorable rencontre.

Réponse à « Luc Ferrari, toujours »

  1. al ca

    I like ..
    le texte , cette musique !
    merci pour les photos ..
    et surtout pour ce lien au splendide doc de : http://www.lucferrari.org/

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